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Le quotidien français rapporte que l'Agence nationale de sécurité du médicament, qui voulait empêcher ses experts de communiquer avec les médias, est forcée d'assouplir les règles de son nouveau règlement intérieur. La version de ce règlement en cours jusqu'ici prévoyait des sanctions financières de 15 000 euros et même un an de prison aux membres trop bavards du comité en charge de la pharmacovigilance en cas de " manquement à l'obligation de confidentialité ". Ceci va donc sérieusement changer à l'avenir.