"Je suis très fier des 3.000 collaborateurs qui se donnent jour et nuit pour rendre possible la production de masse du vaccin, dans cette usine qui est la plus importante d'Europe", a commenté M. Breton.

Le commissaire s'est longuement entretenu avec les dirigeants du site de Puurs. Ils ont notamment évoqué la complexité du processus de production du vaccin de Pfizer et BioNTech. "Le vaccin nécessite 400 à 500 composants provenant du monde entier. Nous devons nous assurer que tous les maillons de la chaîne fonctionnent, afin qu'il n'y ait pas de retard", a-t-il souligné.

En quittant l'entreprise, Thierry Breton s'est dit confiant quant à la capacité de l'usine de livrer 100 millions de doses par mois d'ici fin juin, soit le double du rythme actuel, et quelque 1,2 milliard sur l'ensemble de l'année.

Ces dernières semaines, le Français avait également déjà visité le site de Thermo Fisher à Seneffe, où le vaccin AstraZeneca est produit, et celui de Lonza à Lisp, en Suisse, qui est responsable de la production du vaccin Moderna.

Ces visites s'inscrivent également dans le cadre de l'"incubateur Hera", un plan d'action récemment mis en place par la Commission européenne qui réunit des scientifiques, des entreprises et des organismes publics dans le but de rationaliser le processus de production de vaccins.

"A travers toute l'Europe, nous voulons avoir produit 2 à 3 milliards de doses des différents vaccins contre le coronavirus d'ici la fin de l'année", a enfin rappelé Thierry Breton. "C'est évidemment trop pour les seuls Européens mais, en tant que leader dans le développement et la production de vaccins, nous avons aussi une responsabilité envers le reste du monde", a-t-il conclu.

"Je suis très fier des 3.000 collaborateurs qui se donnent jour et nuit pour rendre possible la production de masse du vaccin, dans cette usine qui est la plus importante d'Europe", a commenté M. Breton. Le commissaire s'est longuement entretenu avec les dirigeants du site de Puurs. Ils ont notamment évoqué la complexité du processus de production du vaccin de Pfizer et BioNTech. "Le vaccin nécessite 400 à 500 composants provenant du monde entier. Nous devons nous assurer que tous les maillons de la chaîne fonctionnent, afin qu'il n'y ait pas de retard", a-t-il souligné. En quittant l'entreprise, Thierry Breton s'est dit confiant quant à la capacité de l'usine de livrer 100 millions de doses par mois d'ici fin juin, soit le double du rythme actuel, et quelque 1,2 milliard sur l'ensemble de l'année. Ces dernières semaines, le Français avait également déjà visité le site de Thermo Fisher à Seneffe, où le vaccin AstraZeneca est produit, et celui de Lonza à Lisp, en Suisse, qui est responsable de la production du vaccin Moderna. Ces visites s'inscrivent également dans le cadre de l'"incubateur Hera", un plan d'action récemment mis en place par la Commission européenne qui réunit des scientifiques, des entreprises et des organismes publics dans le but de rationaliser le processus de production de vaccins. "A travers toute l'Europe, nous voulons avoir produit 2 à 3 milliards de doses des différents vaccins contre le coronavirus d'ici la fin de l'année", a enfin rappelé Thierry Breton. "C'est évidemment trop pour les seuls Européens mais, en tant que leader dans le développement et la production de vaccins, nous avons aussi une responsabilité envers le reste du monde", a-t-il conclu.