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Et ce plus que les sujets à qui on proposait des arguments plus faibles, même si les images chez ces derniers étaient plus éclatantes, plus variées et plus spectaculaires. Les mesures objectives de la cotinine dans les urines après un mois confirmait l'effet plus grand chez les sujets ayant vu des annonces " fortes ". C'est la première fois, notent les auteurs, que l'on a montré un rapport entre cognition et activité cérébrale en réponse au contenu et au format de publicités télévisées. (référence : Wang A-L et al. Journal of Neuroscience. 2013;33:7420)