" Pendant la grossesse et l'allaitement, la consommation d'alcool est nocive pour votre bébé ", tel sera le message que Maggie De Block enverra fin septembre dans les cabinets médicaux en contact avec les femmes enceintes (MG et gynécologues essentiellement ainsi que les hôpitaux et les sage-femmes). La SSMG estime dans Le Soir que ce sera une goutte d'eau dans la mer.
La ministre De Block veut informer les parturientes qui ne le sauraient pas de la nocivité de l'alcool pendant la grossesse, utilisant en cela ses compétences fédérales qui lui sont également reconnues en matière de prévention.
" Ces outils permettront d'aider les professionnels de la santé en lui fournissant des informations claires, d'aborder ce sujet avec les patientes et leur partenaire, de diagnostiquer les consommations problématiques et de réorienter les femmes enceintes qui en ont besoin, le tout sans culpabiliser les femmes, " détaille dans Le Soir Vinciane Charlier, porte-parole du SPF Santé publique.
Dans le même quotidien, le Dr Thomas Orban, président de la SSMG, lui-même alcoologue, rappelle qu'il n'a pas voulu s'y associer car il n'a pas de garantie sur les compétences des personnes qui vont former les MG. " Cette action que la SSMG attend depuis 5 ans ne constitue qu'une goutte d'eau dans un océan. Et elle ne fera pas moins boire les femmes enceintes. "
Au cabinet De Block, on ne peut pas encore en dire plus vu que la campagne va être lancée fin septembre. Des informations suivront...
La ministre De Block veut informer les parturientes qui ne le sauraient pas de la nocivité de l'alcool pendant la grossesse, utilisant en cela ses compétences fédérales qui lui sont également reconnues en matière de prévention." Ces outils permettront d'aider les professionnels de la santé en lui fournissant des informations claires, d'aborder ce sujet avec les patientes et leur partenaire, de diagnostiquer les consommations problématiques et de réorienter les femmes enceintes qui en ont besoin, le tout sans culpabiliser les femmes, " détaille dans Le Soir Vinciane Charlier, porte-parole du SPF Santé publique.Dans le même quotidien, le Dr Thomas Orban, président de la SSMG, lui-même alcoologue, rappelle qu'il n'a pas voulu s'y associer car il n'a pas de garantie sur les compétences des personnes qui vont former les MG. " Cette action que la SSMG attend depuis 5 ans ne constitue qu'une goutte d'eau dans un océan. Et elle ne fera pas moins boire les femmes enceintes. "Au cabinet De Block, on ne peut pas encore en dire plus vu que la campagne va être lancée fin septembre. Des informations suivront...
