Les nouvelles sont meilleures si l'on regarde du côté de la zone euro voire de l'Union européenne, au sein desquelles une baisse de 20% des infections a été notée depuis 2015 chez les hommes homosexuels.

"Il est difficile de parler de bonnes nouvelles puisque c'est une nouvelle année marquée par un inacceptable haut nombre de personnes infectées par le VIH", estime le docteur Zsuzsanna Jakab, directrice de l'OMS pour l'Europe. "Si les efforts pour prévenir de nouvelles infections montrent progressivement des signes positifs, nous ne sommes pas à même de rencontrer nos objectifs 90-90-90 pour 2020" (90% des personnes vivant avec le VIH connaissent leur statut sérologique, 90% de toutes les personnes infectées par le VIH dépistées reçoivent un traitement anti rétroviral durable, 90% des personnes recevant un traitement antirétroviral ont une charge virale durablement supprimée, NDLR).

"Malgré nos efforts, le VIH dégrade la vie de tant de personnes, et cause non seulement souffrances et maladie, mais aussi discrimination et stigmatisation", résume le commissaire européen à la Santé Vytenis Andriukaitis. Il convient selon lui, pour espérer remplir l'objectif de développement durable d'éradication du VIH dans le monde d'ici 2030, de renforcer nos collaborations avec les pays non-européens. "Nous devons combattre la stigmatisation du VIH et de son traitement et maintenir nos efforts pour lutter contre les fausses croyances sur la propagation du virus. Il est également important pour nos services publics de santé de permettre un accès facile et abordable aux tests et soins médicaux pour les groupes à risque accru d'infection."

Comme dans l'Union européenne en général, le nombre de nouvelles infections diminue en Belgique. Selon Sciensano, il a baissé de 2% de 2016 à 2017 et de 27,5% depuis 2012.

Les nouvelles sont meilleures si l'on regarde du côté de la zone euro voire de l'Union européenne, au sein desquelles une baisse de 20% des infections a été notée depuis 2015 chez les hommes homosexuels. "Il est difficile de parler de bonnes nouvelles puisque c'est une nouvelle année marquée par un inacceptable haut nombre de personnes infectées par le VIH", estime le docteur Zsuzsanna Jakab, directrice de l'OMS pour l'Europe. "Si les efforts pour prévenir de nouvelles infections montrent progressivement des signes positifs, nous ne sommes pas à même de rencontrer nos objectifs 90-90-90 pour 2020" (90% des personnes vivant avec le VIH connaissent leur statut sérologique, 90% de toutes les personnes infectées par le VIH dépistées reçoivent un traitement anti rétroviral durable, 90% des personnes recevant un traitement antirétroviral ont une charge virale durablement supprimée, NDLR). "Malgré nos efforts, le VIH dégrade la vie de tant de personnes, et cause non seulement souffrances et maladie, mais aussi discrimination et stigmatisation", résume le commissaire européen à la Santé Vytenis Andriukaitis. Il convient selon lui, pour espérer remplir l'objectif de développement durable d'éradication du VIH dans le monde d'ici 2030, de renforcer nos collaborations avec les pays non-européens. "Nous devons combattre la stigmatisation du VIH et de son traitement et maintenir nos efforts pour lutter contre les fausses croyances sur la propagation du virus. Il est également important pour nos services publics de santé de permettre un accès facile et abordable aux tests et soins médicaux pour les groupes à risque accru d'infection." Comme dans l'Union européenne en général, le nombre de nouvelles infections diminue en Belgique. Selon Sciensano, il a baissé de 2% de 2016 à 2017 et de 27,5% depuis 2012.