Tout sur Paul de Munck

Le président du GBO, Paul De Munck, félicite les médecins généralistes, la 1ère ligne en général et le Collège de médecine générale pour leur créativité dans cette guerre sanitaire contre le Covid-19. Mais il rappelle le manque criant d'armes pour le faire, et notamment l'extravagante pénurie de masques FFP2 et/ou chirurgicaux et de tests. De ce fait, les MG et soignants restent vulnérables face à la contagion des patients asymptomatiques potentiels et dans les centres de tri. Pour les patients guéris, il propose une ligne 1,5 entre la 1ère Ligne et la 2e Ligne hospitalière.

Be.Hive (de " hive " qui signifie " ruche " en anglais), la chaire francophone interdisciplinaire et interuniversitaire de la première ligne qui présentait son Livre blanc mardi, a reçu le soutien du Fonds Daniël De Coninck, lui-même géré par la Fondation Roi Baudouin. Le financement s'élèvera à 500.000 euros par an et par chaire, pendant cinq ans. En collaboration avec l'Academie voor de Eerste Lijn, Be.Hive rassemble les expertises en sciences de la santé de six partenaires : Université catholique de Louvain, Université libre de Bruxelles, Université de Liège, Haute école libre de Bruxelles Prigogine, Haute école Léonard de Vinci et Haute école de Namur-Liège-Luxembourg.

Samedi dernier s'est terminée la période de transition de trois mois pour se familiariser avec le nouveau modèle de prescription. Néanmoins, sur le terrain, de nombreuses questions subsistent. Quid si des prescriptions antérieures au 1er février sous l'ancien modèle? Sont-elles toujours valables? Quid si l'on ne peut faire autrement qu'utiliser un ancien modèle aujourd'hui? Le journal du Médecin a tenté de démêler l'écheveau.

Mercredi, au moment du bouclage de ce numéro, Paul De Munck, président du GBO (Cartel) estimait du devoir des médecins de signer un accord médico-mut lors de la " réunion de la dernière chance " de mercredi soir. Mais conditionner l'accord au règlement du dossier des postes médicaux de garde n'était pas dans les intentions du GBO, contrairement à l'Absym.

En médico-mut hier, il y avait loin de la coupe aux lèvres. Les différents syndicats médicaux se sont contentés d'écrire leur Lettre à Saint-Nicolas, soit leur cortège d'envies et de doléances, comme l'explique avec humour Paul De Munck, président du GBO. Deux dossiers majeurs toutefois ont été discutés ou sont actés : la prime de pratique intégrée (publiée le 9/12 au Moniteur) et les subventions aux syndicats médicaux, plus ou moins cryogénisées jusqu'en 2021.

Fait relativement rare : le Conseil général de l'Inami n'a pas approuvé ce lundi la proposition budgétaire du Comité de l'assurance, votée en choeur, il y a 15 jours, par les médecins et les mutuelles. Par rapport aux 21 membres du CG, il a manqué une voix sur les 11 nécessaires, le gouvernement s'abstenant car la proposition " ne met pas suffisamment le patient au centre des priorités ". Les réactions outrées des prestataires et des mutuelles ont fusé : camouflet, hypocrisie et irresponsabilité.

À l'initiative de jeunes médecins et fruit d'une longue gestation, le site internet de témoignages " lesendocs.be " est en ligne ce vendredi. Le GBO, qui encadre l'initiative, a pris toutes les précautions juridiques pour assurer son succès. Le syndicat de MG, associé au Modes (le Monde des spécialistes), espère faire avancer les choses et améliorer le statut et la vie de tous les jours des MG et des spécialistes en formation. Explications avec Alexia Orban, une des fondatrices, et Paul De Munck, président du GBO.

Le GBO vient de désigner son directeur, Jean-Noël Godin. L'expert en soins de santé travaillera en étroite collaboration avec le Dr Paul De Munck, président du syndicat médecin, et le bureau exécutif. Cette nouvelle fonction devrait renforcer le syndicat.

Le GBO vient de désigner son directeur, Jean-Noël Godin. L'expert en soins de santé travaillera en étroite collaboration avec le Dr Paul De Munck, président du syndicat médecin, et le bureau exécutif. Une nouvelle fonction qui devrait renforcer le syndicat médical.

Un sondage réalisé par le Ph. Marc Dooms (voir ci-contre) et ses collègues indiquent que les généralistes s'attribuent un rôle plutôt passif vis-à-vis des patients atteints de maladies rares. Le Dr Paul De Munck, président du GBO, voit les choses autrement.

Les autorités ont décidément un problème pour tenir leur délai. Annoncé plusieurs fois, le caractère obligatoire de la prescription électronique a déjà été reporté à plusieurs reprises.

Médecine

Les médecins font face à un nombre croissant de violences verbales, psychologiques, physiques, voire sexuelles, dans le cadre de leur profession. Quel impact ces agressions peuvent-elles avoir? Et comment (mieux) les gérer?

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