"La réduction de l'offre médicale a été l'impact le plus important de la première vague pour les hôpitaux. Nous espérions éviter de devoir choisir de prendre en charge tel ou tel patient. Malheureusement, actuellement, nous devons le faire encore plus qu'au printemps. Nous étions à peine occupés à récupérer le retard provoqué par la première vague, que nous avons dû recommencer à limiter notre activité", explique Julien Compère.