Les événements de ces derniers mois me poussent à réfléchir au rôle du médecin dans une société où s'expriment de plus en plus ouvertement les dérives des religions intégristes et des régimes totalitaires qui imposent des obligations initiatrices d'attitudes destructrices de la condition humaine intéressant le respect de la liberté individuelle de chacun.
Les médecins font face à un nombre croissant de violences verbales, psychologiques, physiques, voire sexuelles, dans le cadre de leur profession. Quel impact ces agressions peuvent-elles avoir? Et comment (mieux) les gérer?
La Cour constitutionnelle s'est récemment prononcée sur le recours en annulation introduit à l'encontre de la disposition législative autorisant les pharmaciens à administrer le vaccin contre le coronavirus[1].