Le nombre de malades en mort cérébrale (les donneurs d'organes traditionnels) est en diminution constante. Les raisons sont multiples : diminution du nombre de traumatismes crâniens sévères, amélioration de la prise en charge des malades neurologiques, craniectomie de décompression en cas d'oedème cérébral majeur... Or le nombre de patients en attente d'organes est en augmentation, aujourd'hui aux alentours de 1500 en Belgique. Comment pouvoir mieux aider ces patients ?