Tout sur Royaume-Uni

Selon une étude menée au Royaume-Uni, les personnes vivant avec le VIH modifient leur traitement antirétroviral deux fois plus souvent qu'il y a dix ans, une augmentation qui n'a rien d'inquiétant, bien au contraire, puisqu'elle reflète d'une part la disponibilité de multiples et meilleures options thérapeutiques, plus efficaces, plus sûres et plus commodes et, d'autre part, la volonté des cliniciens d'adapter au mieux les schémas thérapeutiques aux besoins individuels de chaque personne.

La limitation des contacts sociaux et les autres mesures au début de la pandémie de covid-19 ont entraîné une diminution des exacerbations chez les patients atteints d'asthme dans divers pays. À l'inverse, on observe aujourd'hui une recrudescence des exacerbations de l'asthme à la suite de la suppression ou de l'assouplissement des restrictions liées à la lutte contre le covid-19. C'est ce que révèlent les données collectées de manière prospective dans le cadre de l'étude COVIDENCE-UK.

Une combinaison de mesures de prévention, PrEP en tête, a conduit à une chute impressionnante de 75% en une seule décennie des nouvelles infections au VIH chez les hommes gays et bisexuels au Royaume-Uni selon une étude présentée en format poster lors de la CROI 2022.

Preuve directe à partir des données de sujets adultes (>50 ans) vivant librement aux États-Unis (n=9.294) ou au Royaume-Uni (n=7.566) et en bonne santé cognitive. Les investigateurs ont recherché l'existence d'une association entre la charge tensionnelle cumulative à long terme (médiane de suivi de 8 ans) et la survenue d'un déclin cognitif, d'une démence ou d'un décès toutes causes confondues (1).

D'après une méta-analyse, les personnes ayant un emploi stimulant mentalement auraient un risque plus faible de démence à un âge avancé. Une explication possible est que la stimulation mentale est liée à des niveaux inférieurs de certaines protéines qui peuvent empêcher les cellules cérébrales de former de nouvelles connexions.