Une étude britannique confirme que la concentration en anticorps produits après une contamination par le coronavirus diminue assez rapidement et ne durerait que quelques mois. Surtout chez les personnes âgées et les individus asymptomatiques. Les conclusions d'autres travaux semblent un peu plus optimistes.
Le micro-ARN 134 pourrait être un marqueur de l'épilepsie mésio-temporale. Il semble associé à la résistance au traitement et pourrait constituer une nouvelle cible thérapeutique.
La spectroscopie par résonance magnétique permet de définir la concentration de certains neuro-métabolites. Les investigateurs de l'étude ont eu pour objectif de déterminer dans quelle mesure le profil de ces neuro-métabolites est corrélé aux caractéristiques cliniques de la maladie.
La substance amyloïde pourrait jouer un rôle dans la pathogénie de certains cas d'épilepsie de survenue tardive et favoriser la progression de ces cas vers une démence d'Alzheimer.
L'examen histologique des caillots extraits par thrombectomie mécanique pourrait permettre de mieux comprendre les accidents vasculaires cérébraux et de mieux les traiter.
Une altération du métabolisme glucidique est décrite dans la maladie de Parkinson modérée à avancée. Elle pourrait être liée à une dysfonction du système nerveux autonome.