Une étude, menée par une équipe d'investigateurs de l'Université de Modène à la fin de la période de confinement en Italie, ne montre aucune différence statistiquement significative concernant le taux de contamination par la COVID-19 entre patients séropositifs pour le VIH et population générale séronégative. Par contre, le constat d'une augmentation sensible des blips viraux inquiète car elle reflète une diminution de l'adhérence thérapeutique ou une difficulté à se procurer les antirétroviraux en raison du confinement très strict en Italie.