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Le Dr Cristina Mussini de l'université de Modène (Italie) a présenté, sous forme de e-poster, les données d'efficacité et de sécurité d'emploi, après 96 semaines de suivi en conditions de vie réelle, d'un switch vers une thérapie duale centrée sur le dolutégravir.

Le Dr Cristina Mussini de l'Université de Modène (Italie) a présenté, sous forme de e-poster, les données d'efficacité et de sécurité d'emploi, après 96 semaines de suivi en conditions de vie réelle, d'un switch vers une thérapie duale centrée sur le dolutégravir.

Quelle est, en Europe, la prévalence des résistances transmises aux inhibiteurs de l'intégrase et aux INTIs, piliers actuels du traitement antirétroviral de première intention ? Réponse avec une analyse approfondie menée, sur trois ans, par le consortium MeditRes qui rassure.

La grande majorité des personnes ayant été infectées par le SARS-CoV-2 développeraient pendant au moins huit mois des anticorps neutralisant le coronavirus, ce qui les prémunit contre une nouvelle infection. Ce constat est valable indépendamment de la gravité de la maladie, de l'âge des patients ou de la présence d'autres pathologies.

Selon une étude observationnelle, une exposition accrue au soleil - en particulier aux UVA - serait associée à de plus faibles chances de décéder de la Covid-19. La libération d'oxyde nitrique par la peau lors d'une telle exposition pourrait être une explication.

Une étude, menée par une équipe d'investigateurs de l'Université de Modène à la fin de la période de confinement en Italie, ne montre aucune différence statistiquement significative concernant le taux de contamination par la COVID-19 entre patients séropositifs pour le VIH et population générale séronégative. Par contre, le constat d'une augmentation sensible des blips viraux inquiète car elle reflète une diminution de l'adhérence thérapeutique ou une difficulté à se procurer les antirétroviraux en raison du confinement très strict en Italie.

Selon une recherche préliminaire, présentée aux sessions scientifiques 2020 de l'American Heart Association, les personnes qui consomment du piment rouge sont susceptibles de vivre plus longtemps que les autres. Elles ont également un risque considérablement réduit de mourir d'une maladie cardiovasculaire ou d'un cancer.