Le projet-pilote s'appuie sur de la visioconférence avec des appareils connectés. Selon Numerikare, l'Ordre des médecins soutient le projet et souhaite même le voir s'étendre à d'autres prisons du Royaume.

"C'est la Province qui est venue vers nous. La téléconsultation lui paraît une solution indiquée pour surmonter le fait qu'il n'y a pas toujours de médecin présent à la prison, que les déplacements pour s'y rendre peuvent être longs et la visite au détenu malade chronophage", explique le Dr Magali Coppe, médecin-chef de l'établissement pénitentiaire.

Actuellement, un médecin assure 2 à 3 heures de consultations auxquelles les détenus s'inscrivent et des infirmiers sont également présents de 7 à 17h, précise le Dr Coppe. Elle estime que de 17h à 7h, la télémédecine peut apporter une plus-value.

La Province financerait l'expérience, s'occupant entre autres du matériel et des suites logicielles nécessaires, détaille la médecin-chef.

Le projet-pilote s'appuie sur de la visioconférence avec des appareils connectés. Selon Numerikare, l'Ordre des médecins soutient le projet et souhaite même le voir s'étendre à d'autres prisons du Royaume. "C'est la Province qui est venue vers nous. La téléconsultation lui paraît une solution indiquée pour surmonter le fait qu'il n'y a pas toujours de médecin présent à la prison, que les déplacements pour s'y rendre peuvent être longs et la visite au détenu malade chronophage", explique le Dr Magali Coppe, médecin-chef de l'établissement pénitentiaire. Actuellement, un médecin assure 2 à 3 heures de consultations auxquelles les détenus s'inscrivent et des infirmiers sont également présents de 7 à 17h, précise le Dr Coppe. Elle estime que de 17h à 7h, la télémédecine peut apporter une plus-value. La Province financerait l'expérience, s'occupant entre autres du matériel et des suites logicielles nécessaires, détaille la médecin-chef.