Il est d'évidence pour tous ceux qui travaillent au sein de l'Absym, que ce n'est pas le cas : toutes les instances de notre organisation, à tous les étages fédéraux et caméraux, sont paritairement constituées de généralistes et de spécialistes, et aucune décision d'importance concernant tant la médecine générale que la médecine spécialisée n'est prise sans un consensus général de l'ensemble des collègues. Les visions des syndicats diffèrent p ex sur la place du forfait dans la rémunération, mais tous visent à la plénitude de la MG. Il y avait donc beaucoup de non-dits, de visions influencées par les expériences individuelles du passé, de méfiances et de craintes. L'importance de l'objectif poursuivi par l'association, traduit dans la définition de ses rôles et missions, a justifié que les parties constitutives s'entendent sur le respect réciproque des fonctions et rôles de chacune des organisations qui délèguent des membres au collège. En parallèle, lesdites organisations acceptent sans arrière-pensée de contribuer à mettre en oeuvre les réalisations poursuivies par le collège.

Répondre aux défis

Il faut se réjouir de voir toutes les parties s'intéressant à la pratique de la médecine générale se réunir pour débattre, proposer et soutenir les réformes bien nécessaires. Il s'agit de répondre aux défis posés par le basculement conceptuel initié par les autorités publiques qui vise à organiser la prise en charge des patients chroniques par une première ligne rénovée et la contribution de la médecine générale à l'organisation de l'aide médicale urgente, de renforcer les liens entre secteurs ambulatoire et hospitalier, entre médecins généralistes et spécialistes. Les activités de médecine générale liées à la prévention, dans tous ses aspects, les facteurs influençant l'exercice de la profession, la promotion de la qualité, les aspects liés à la formation en médecine générale, la collaboration intercommunautaire et internationale, la capacité à suggérer ensemble des réformes qui conviennent au monde de la médecine générale et qui seront portées partout vis-à-vis des autorités publiques, sont des engagements qu'ont pris les parties constituantes, l'Absym y compris.

Il ne faut plus que persiste la moindre ambiguïté à cet égard. L'Absym se réjouit de la création du collège, et par sa signature, s'est engagée avec les autres parties, à savoir les organisations universitaires chargées de la formation, les cercles de médecins généralistes représentées par leur fédération, la société scientifique de médecine générale et les syndicats médicaux, à travailler de concert.

Il faut se réjouir de ce que le texte reconnaisse formellement les stipulations statutaires des différentes organisations constitutives, y compris leurs rôles et fonctions spécifiques dans les administrations des états fédéral, régional et communautaire où ces groupes siègent ès qualité. La reconnaissance de ces fonctions ne portera pas ombrage à la contribution de l'Absym au travail commun.

Il est d'évidence pour tous ceux qui travaillent au sein de l'Absym, que ce n'est pas le cas : toutes les instances de notre organisation, à tous les étages fédéraux et caméraux, sont paritairement constituées de généralistes et de spécialistes, et aucune décision d'importance concernant tant la médecine générale que la médecine spécialisée n'est prise sans un consensus général de l'ensemble des collègues. Les visions des syndicats diffèrent p ex sur la place du forfait dans la rémunération, mais tous visent à la plénitude de la MG. Il y avait donc beaucoup de non-dits, de visions influencées par les expériences individuelles du passé, de méfiances et de craintes. L'importance de l'objectif poursuivi par l'association, traduit dans la définition de ses rôles et missions, a justifié que les parties constitutives s'entendent sur le respect réciproque des fonctions et rôles de chacune des organisations qui délèguent des membres au collège. En parallèle, lesdites organisations acceptent sans arrière-pensée de contribuer à mettre en oeuvre les réalisations poursuivies par le collège.Il faut se réjouir de voir toutes les parties s'intéressant à la pratique de la médecine générale se réunir pour débattre, proposer et soutenir les réformes bien nécessaires. Il s'agit de répondre aux défis posés par le basculement conceptuel initié par les autorités publiques qui vise à organiser la prise en charge des patients chroniques par une première ligne rénovée et la contribution de la médecine générale à l'organisation de l'aide médicale urgente, de renforcer les liens entre secteurs ambulatoire et hospitalier, entre médecins généralistes et spécialistes. Les activités de médecine générale liées à la prévention, dans tous ses aspects, les facteurs influençant l'exercice de la profession, la promotion de la qualité, les aspects liés à la formation en médecine générale, la collaboration intercommunautaire et internationale, la capacité à suggérer ensemble des réformes qui conviennent au monde de la médecine générale et qui seront portées partout vis-à-vis des autorités publiques, sont des engagements qu'ont pris les parties constituantes, l'Absym y compris.Il ne faut plus que persiste la moindre ambiguïté à cet égard. L'Absym se réjouit de la création du collège, et par sa signature, s'est engagée avec les autres parties, à savoir les organisations universitaires chargées de la formation, les cercles de médecins généralistes représentées par leur fédération, la société scientifique de médecine générale et les syndicats médicaux, à travailler de concert.Il faut se réjouir de ce que le texte reconnaisse formellement les stipulations statutaires des différentes organisations constitutives, y compris leurs rôles et fonctions spécifiques dans les administrations des états fédéral, régional et communautaire où ces groupes siègent ès qualité. La reconnaissance de ces fonctions ne portera pas ombrage à la contribution de l'Absym au travail commun.