Approuvé par le Comité de l'assurance début mai, le texte du protocole d'accord a été officiellement communiqué aux postes de garde le 1er juin, a expliqué la ministre ce 12 juillet. Ce texte définissant les sujets qui devront obligatoirement être abordés dans les accords locaux entre PMG (ou services de garde) et urgences (conditions minimales et zone d'application, triage...) est assorti, a assuré la ministre, d'un calendrier des travaux.

Pour rappel, les initiatives de postes de garde existantes doivent disposer d'un accord avant fin 2017. Quant aux nouvelles initiatives, elles doivent évidemment elles aussi en disposer. La ministre a précisé que le comité de l'assurance a entre-temps (ndlr: depuis le 1er juin) traité de nouvelles demandes, en approuvant certaines, et en rejetant d'autres qui ne répondaient pas aux conditions.

Restant plutôt dans le flou, elle a ajouté que "la communication du 1er juin 2016 mentionne elle-même que d'autres messages et instructions suivront, en particulier si les évolutions dans la politique sur l'organisation des soins non programmables l'exige ou dans le cadre d'éventuelles modifications des modalités ou des conditions de financement des postes de garde de médecine générale."

On sait que le budget des postes de garde avait été gelé pour permettre une meilleure évaluation du terrain, décision qui fut suivie de vives réactions dans les rangs médicaux, avant que soit créée une task force chargée de plancher sur cet épineux problème, et que ne paraisse, en mars dernier, un rapport du KCE prônant une prise en charge de ces soins non programmables jugée par de nombreux acteurs trop hospitalocentriste (pour faire court). A cela s'ajoute la question du tri physique des patients, que l'on peut coupler à celle du dispatching des appels, à la problématique zones rurales/zones urbaines, et l'on comprend alors que l'organisation de la garde médicale demandera encore pas mal de temps.

Ce qu'a bien compris aussi la députée Caroline Cassart-Mailleux (MR) qui, ayant interrogé Maggie De Block sur l'état d'avancement du dossier, a ponctué la réponse de la ministre d'un "Je reviendrai vers vous fin de l'année pour faire le point sur le dossier."

Approuvé par le Comité de l'assurance début mai, le texte du protocole d'accord a été officiellement communiqué aux postes de garde le 1er juin, a expliqué la ministre ce 12 juillet. Ce texte définissant les sujets qui devront obligatoirement être abordés dans les accords locaux entre PMG (ou services de garde) et urgences (conditions minimales et zone d'application, triage...) est assorti, a assuré la ministre, d'un calendrier des travaux.Pour rappel, les initiatives de postes de garde existantes doivent disposer d'un accord avant fin 2017. Quant aux nouvelles initiatives, elles doivent évidemment elles aussi en disposer. La ministre a précisé que le comité de l'assurance a entre-temps (ndlr: depuis le 1er juin) traité de nouvelles demandes, en approuvant certaines, et en rejetant d'autres qui ne répondaient pas aux conditions.Restant plutôt dans le flou, elle a ajouté que "la communication du 1er juin 2016 mentionne elle-même que d'autres messages et instructions suivront, en particulier si les évolutions dans la politique sur l'organisation des soins non programmables l'exige ou dans le cadre d'éventuelles modifications des modalités ou des conditions de financement des postes de garde de médecine générale." On sait que le budget des postes de garde avait été gelé pour permettre une meilleure évaluation du terrain, décision qui fut suivie de vives réactions dans les rangs médicaux, avant que soit créée une task force chargée de plancher sur cet épineux problème, et que ne paraisse, en mars dernier, un rapport du KCE prônant une prise en charge de ces soins non programmables jugée par de nombreux acteurs trop hospitalocentriste (pour faire court). A cela s'ajoute la question du tri physique des patients, que l'on peut coupler à celle du dispatching des appels, à la problématique zones rurales/zones urbaines, et l'on comprend alors que l'organisation de la garde médicale demandera encore pas mal de temps. Ce qu'a bien compris aussi la députée Caroline Cassart-Mailleux (MR) qui, ayant interrogé Maggie De Block sur l'état d'avancement du dossier, a ponctué la réponse de la ministre d'un "Je reviendrai vers vous fin de l'année pour faire le point sur le dossier."