Le 8 décembre dernier, le tribunal de première instance de Bruxelles avait, en référé, autorisé une dizaine d'étudiants à poursuivre leur 1re année en médecine ou dentisterie bien qu'ils aient échoué à l'examen d'entrée de septembre. Ces étudiants avaient validé entre 30 et 44 crédits mais ne pouvaient jusqu'alors continuer leur cursus car ils n'avaient pas réussi leur convention d'allègement -qui permet d'étaler la 1ère BAC sur deux ans- ou n'en avaient pas conclu.

Pour appuyer leur demande, les associations étudiantes évoquent un souci d'égalité et d'équité, affirmant que "laisser poursuivre leur cursus aux seuls étudiants dont les parents avaient les moyens d'intenter un recours nous semble profondément injuste".

Le 8 décembre dernier, le tribunal de première instance de Bruxelles avait, en référé, autorisé une dizaine d'étudiants à poursuivre leur 1re année en médecine ou dentisterie bien qu'ils aient échoué à l'examen d'entrée de septembre. Ces étudiants avaient validé entre 30 et 44 crédits mais ne pouvaient jusqu'alors continuer leur cursus car ils n'avaient pas réussi leur convention d'allègement -qui permet d'étaler la 1ère BAC sur deux ans- ou n'en avaient pas conclu. Pour appuyer leur demande, les associations étudiantes évoquent un souci d'égalité et d'équité, affirmant que "laisser poursuivre leur cursus aux seuls étudiants dont les parents avaient les moyens d'intenter un recours nous semble profondément injuste".