L'hémochromatose est une maladie héréditaire due à l'absorption excessive du fer par le corps.

A partir de ce mardi, les patients qui sont en phase d'entretien de leur traitement et n'ont pas subi de dommages irréversibles aux organes pourront donner leur sang. Lors de leur premier don (et ensuite chaque année), ils devront apporter une attestation de leur médecin stipulant que leur patient répond aux conditions reprises dans la loi.

Lors des saignées effectuées afin de normaliser la teneur en fer de leurs organes et de leur sang, les 1.500 patients qui subissent une "phlébotomie thérapeutique" pourront donner ce sang à la Croix-Rouge de Belgique. Avant, ce sang était détruit.

"6.000 poches par année ne fait pas une énorme différence, mais nous cherchons constamment de nouveaux donneurs et dans ce cas-ci, des personnes qui doivent faire des dons réguliers pour se soigner pourront donner", a souligné satisfait le Dr Ivan de Bouyalsky, directeur général du Service du sang.

Dans d'autres pays où le don est déjà autorisé, rien ne montre un risque accru pour la sécurité, souligne le cabinet de la ministre.

L'hémochromatose est une maladie héréditaire due à l'absorption excessive du fer par le corps. A partir de ce mardi, les patients qui sont en phase d'entretien de leur traitement et n'ont pas subi de dommages irréversibles aux organes pourront donner leur sang. Lors de leur premier don (et ensuite chaque année), ils devront apporter une attestation de leur médecin stipulant que leur patient répond aux conditions reprises dans la loi. Lors des saignées effectuées afin de normaliser la teneur en fer de leurs organes et de leur sang, les 1.500 patients qui subissent une "phlébotomie thérapeutique" pourront donner ce sang à la Croix-Rouge de Belgique. Avant, ce sang était détruit."6.000 poches par année ne fait pas une énorme différence, mais nous cherchons constamment de nouveaux donneurs et dans ce cas-ci, des personnes qui doivent faire des dons réguliers pour se soigner pourront donner", a souligné satisfait le Dr Ivan de Bouyalsky, directeur général du Service du sang. Dans d'autres pays où le don est déjà autorisé, rien ne montre un risque accru pour la sécurité, souligne le cabinet de la ministre.