En 1971, Godfrey Hounsfield met au point le premier CT-scan. Il travaille alors pour la firme EMI qui à l'époque, peut se permettre de financer des projets de recherche grâce aux royalties que lui ont rapporté les Beatles. D'une certaine manière, l'art a permis ici l'avancée de la science.

Quelquefois, art et science cheminent de concert. En témoigne une visite du jdM au sein du service de radiologie de St-Luc, où le Pr Etienne Danse et Jean-Philippe Hastir se sont attelés, en collaboration avec l'archéologue doctorante Caroline Tillieux, au scannage des momies du musée du Cinquantenaire. Une plongée originale dans l'art funéraire égyptien, aux côtés de patients immortels et très secrets.

  • À lire dans l'édition spéciale du jdM ce vendredi 9 septembre 2016.
En 1971, Godfrey Hounsfield met au point le premier CT-scan. Il travaille alors pour la firme EMI qui à l'époque, peut se permettre de financer des projets de recherche grâce aux royalties que lui ont rapporté les Beatles. D'une certaine manière, l'art a permis ici l'avancée de la science. Quelquefois, art et science cheminent de concert. En témoigne une visite du jdM au sein du service de radiologie de St-Luc, où le Pr Etienne Danse et Jean-Philippe Hastir se sont attelés, en collaboration avec l'archéologue doctorante Caroline Tillieux, au scannage des momies du musée du Cinquantenaire. Une plongée originale dans l'art funéraire égyptien, aux côtés de patients immortels et très secrets.