On peut introduire ce type de déclaration en Belgique depuis 2008. Depuis lors, 170.942 ont été déposées, 128.291 déclarations toujours actives et 42.651 autres arrivées à échéance. Parmi ces déclarations arrivées à échéance, 29.842 enregistrements n'ont pas été confirmés, le reste émanait de personnes entre-temps décédées.

Au cours de la même période, 382 personnes sont retournées auprès de leur administration communale pour retirer leur déclaration (98 en 2016 et 2017). Selon Gert Huysmans, président de la fédération flamande des soins palliatifs, cela s'explique par un certain nombre de déclarations de mauvaise qualité. "Le conseil à donner est de se faire assister par son généraliste ou par quelqu'un qui se débrouille dans ce domaine", explique-t-il. D'après lui, les gens rédigent leur déclaration alors qu'ils sont en bonne santé et sous-estiment alors l'instinct de survie qui les animera quand ils seront malades.

On peut introduire ce type de déclaration en Belgique depuis 2008. Depuis lors, 170.942 ont été déposées, 128.291 déclarations toujours actives et 42.651 autres arrivées à échéance. Parmi ces déclarations arrivées à échéance, 29.842 enregistrements n'ont pas été confirmés, le reste émanait de personnes entre-temps décédées. Au cours de la même période, 382 personnes sont retournées auprès de leur administration communale pour retirer leur déclaration (98 en 2016 et 2017). Selon Gert Huysmans, président de la fédération flamande des soins palliatifs, cela s'explique par un certain nombre de déclarations de mauvaise qualité. "Le conseil à donner est de se faire assister par son généraliste ou par quelqu'un qui se débrouille dans ce domaine", explique-t-il. D'après lui, les gens rédigent leur déclaration alors qu'ils sont en bonne santé et sous-estiment alors l'instinct de survie qui les animera quand ils seront malades.