Les soins de santé dans nos prisons sont depuis longtemps un sujet sensible, reconnaît la ministre De Block. "Avec le ministre de la Justice nous avançons en vue de sortir les internés psychiatriques des prisons afin de les placer dans des institutions plus appropriées. C'est un dossier hyper-complexe. Le nombre d'internés a baissé à 700. Il n'y a plus de femmes internées pour raison psychiatrique dans les prisons wallonnes".

La ministre a détaillé les places supplémentaires en institutions pour ces internés (au 1er juillet 2017) : 20 places psys au centre psychiatrique de Zelzate, 7 places pour délinquants sexuels au CP St Amandus de Beernem, 10, 16, 20 et 20 places respectivement au CP Jean Titeca, à la Clinique de la Forêt de Soignes, au Chêne aux Haies de Mons et à Dave.

Plusieurs projets démarrent à Gand, Eeklo, Menin et Manage concernant entre autres les addictions.

En 2018 démarreront dans tout le pays des projets libérant des places pour les retardés mentaux et les personnes dépendantes aux drogues.

Les soins de santé dans nos prisons sont depuis longtemps un sujet sensible, reconnaît la ministre De Block. "Avec le ministre de la Justice nous avançons en vue de sortir les internés psychiatriques des prisons afin de les placer dans des institutions plus appropriées. C'est un dossier hyper-complexe. Le nombre d'internés a baissé à 700. Il n'y a plus de femmes internées pour raison psychiatrique dans les prisons wallonnes".La ministre a détaillé les places supplémentaires en institutions pour ces internés (au 1er juillet 2017) : 20 places psys au centre psychiatrique de Zelzate, 7 places pour délinquants sexuels au CP St Amandus de Beernem, 10, 16, 20 et 20 places respectivement au CP Jean Titeca, à la Clinique de la Forêt de Soignes, au Chêne aux Haies de Mons et à Dave. Plusieurs projets démarrent à Gand, Eeklo, Menin et Manage concernant entre autres les addictions.En 2018 démarreront dans tout le pays des projets libérant des places pour les retardés mentaux et les personnes dépendantes aux drogues.