La présidente de la MWAB, le Pr Sevilay Altintas, oncologue médicale à l'UZ Anvers, a donné notamment la parole à la gynécologue bien connue Marleen Temmerman. "La violence fait annuellement 1,5 million de mort. Selon des projections, 36,6% des femmes dans la région Afrique sont confrontées à des violences physiques et sexuelles de la part de leur partenaire. Dans certains pays, la prévalence des violences sexuelles varie de 3,4 à 29,5% en fonction du fait qu'on se trouve en période de conflit ou après."

Les professionnels de soins sont premier point de contact pour la victime de violence de la part du partenaire ou d'abus sexuel, rappelle le Dr Temmerman. "Des statistiques, il ressort que les femmes violées sont de plus en plus souvent en demande de soins. Le soins aux victimes de violence doivent le plus possible être intégrés dans les services de santé existants et ne doivent pas être des département à part."

Le psychiatre légal Lieve Dams s'est penchée sur la victimisation secondaire. "Cela signifie qu'une victime qu'il l'est pour la seconde fois l'est sous plusieurs angles de par son expérience négative." La médiation est dans certains cas un plus pour diminuer le risque de victimisation secondaire, explique-t-elle. "Il est important que la victime, l'agresseur et le médiateur soient sur la même longueur d'onde."

La présidente de la MWAB, le Pr Sevilay Altintas, oncologue médicale à l'UZ Anvers, a donné notamment la parole à la gynécologue bien connue Marleen Temmerman. "La violence fait annuellement 1,5 million de mort. Selon des projections, 36,6% des femmes dans la région Afrique sont confrontées à des violences physiques et sexuelles de la part de leur partenaire. Dans certains pays, la prévalence des violences sexuelles varie de 3,4 à 29,5% en fonction du fait qu'on se trouve en période de conflit ou après."Les professionnels de soins sont premier point de contact pour la victime de violence de la part du partenaire ou d'abus sexuel, rappelle le Dr Temmerman. "Des statistiques, il ressort que les femmes violées sont de plus en plus souvent en demande de soins. Le soins aux victimes de violence doivent le plus possible être intégrés dans les services de santé existants et ne doivent pas être des département à part."Le psychiatre légal Lieve Dams s'est penchée sur la victimisation secondaire. "Cela signifie qu'une victime qu'il l'est pour la seconde fois l'est sous plusieurs angles de par son expérience négative." La médiation est dans certains cas un plus pour diminuer le risque de victimisation secondaire, explique-t-elle. "Il est important que la victime, l'agresseur et le médiateur soient sur la même longueur d'onde."