"Nous sommes parmi les plus gros consommateurs d'Europe", détaille la porte-parole Els Cleemput dans la DH de ce week-end. "Nous devons tendre à un usage rationnel. Il faut moins en prescrire mais le patient doit aussi réaliser que ce type de médicaments n'apporte souvent aucune solution." La campagne ira de pair avec le remboursement de consultation psychologique, explique sa porte-parole.

Selon une enquête de 2013, une femme sur cinq et un homme sur dix utilise des somnifères, des calmants ou des antidépresseurs. "Nous minimisons souvent le problème. 'C'est seulement une pilule', entend-on. Alors que cela a de grandes conséquences", estime le professeur Thierry Christiaens, du département de pharmacologie de l'université de Gand.

"Nous sommes parmi les plus gros consommateurs d'Europe", détaille la porte-parole Els Cleemput dans la DH de ce week-end. "Nous devons tendre à un usage rationnel. Il faut moins en prescrire mais le patient doit aussi réaliser que ce type de médicaments n'apporte souvent aucune solution." La campagne ira de pair avec le remboursement de consultation psychologique, explique sa porte-parole.Selon une enquête de 2013, une femme sur cinq et un homme sur dix utilise des somnifères, des calmants ou des antidépresseurs. "Nous minimisons souvent le problème. 'C'est seulement une pilule', entend-on. Alors que cela a de grandes conséquences", estime le professeur Thierry Christiaens, du département de pharmacologie de l'université de Gand.